Bonjour à toi, je m'appelle François de Valois, mais tu peux aussi m'appeler François. J'ai 23 ans. Dans la vie je suis hétérosexuel et actuellement marié à Mary Stuart. On me dit souvent que je ressemble à Toby Regbo, et surtout je suis issu de Reign.

Il y a eu cette joie entourant la naissance du fils aîné d'Henri II, roi de France. Et puis cette désillusion autour de ce titre, porteur de significations. Dauphin de France. Mais François a eu cette chance de recevoir l'amour de cette mère, Catherine de Medicis, dont il est le fils préféré à défaut d'avoir été celui du roi. Il avait tout pour briller François et pourtant c'est son demi-frère, Sébastien, qui trouvait grâce aux yeux du souverain. Un bâtard à la cour royale. Et pourtant François l'a toujours considéré comme son égal, son frère dont il est très proche. Parce que sa loyauté envers les siens est l'une de ses qualités les plus précieuses, une qualité qui pourrait un jour le perdre. Son titre, François l'a toujours considéré comme un fardeau. Mais un fardeau qui l'emmènerait un jour à accéder au trône de France pour le modeler à son image. Il est avide d'aventures François, mais son statut ne le lui permet pas.
Il y a eu ces jeux d'enfants et ces quelques sourires échangés enfantins échangés à l'issue d'un traité entre la France et l'Ecosse alors qu'il venait tout juste d'atteindre l'âge de six ans. L'innocence de l'enfance passé, il se plait à aimer le charmant sourire de cette reine écossaise dont il était le fiancé avant d'en devenir l'époux. Ses sentiments n'ont été qu'une valse d'émotions jusqu'à ce que ses lèvres touchent les siennes pour la première fois. Il s'est passé tant de choses entre eux, dont ce mariage. Combien de rois peuvent-ils prétendre aimer leur épouser d'un amour éternel ? Ombre au tableau, il y a aussi ce fils illégitime qu'il eu avec l'une des suivantes de Mary, Lola. Un égarement alors qu'il ne pensait jamais revoir la cour, une manigance de ce roi de plus en plus.
Il y avait ce père, avide de pouvoir et rendu complètement fou par la maladie. Sa cruauté atteint un tel paroxysme que François se voit contraint de comploter contre lui. Il blesse mortellement son père à un tournoi par une joute accédant ainsi à ce trône et mettant fin à cette presque tyrannie de son propre chef.

De l'autre côté de l'écran ~
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