Bonjour à toi, je m'appelle Jack Napier, mais tu ne peux pas m'appeler comme ça. Je m'appelle Joker. J'ai 40 ans. Dans la vie je suis bisexuel et actuellement célibataire. On me dit souvent que je ressemble à Heath Ledger, et surtout je suis issu de BATMAN.

The Joker, par où commencer ?
Un fou, un monstre, la némésis de Batman, la terreur de Gotham. Il existe des rumeurs sur ses origines. Le Joker lui-même dirait qu’il a eu “un mauvais jour” qui a tout fait basculer. Les circonstances de ce mauvais jour, précisément ? Il aura toujours une histoire différente. En vérité, peu importe pourquoi il est comme ça.
C’est un agent du chaos. Il ne poursuit rien, il n’a pas de but, il n’a pas de terreurs, il n’a pas de règles. Il ne tient à rien ni à personne. Il peut tenir un discours puis un autre, parce que la plupart de ses paroles sont des mensonges. Il est violent, jaloux, imprévisible. Il manipule les gens de toutes les manières qui existent, parce qu’il ne recule devant rien. Beaucoup de gens le craignent. Je ne pense pas que lui craigne quoi que ce soit. Il attire toujours à lui tout un essaim de personnes brisées, de malades, de gens en détresse prêts à tout pour lui, et il les détruit en les utilisant.
Une de ses plus fameuses victimes est la psychiatre Harleen Quinn. Sous son emprise, elle a perdu l’esprit et est devenue Harley Quinn. Il était ravi d’avoir une side-kick efficace, mignonne, amoureuse de lui, utile. Soumise. Un âge d’or pour le Joker. Ça n'a pas duré. La femme s’est libérée de lui et l’a quitté, inacceptable audace. C’est ça surtout, c’est ça qui l’a piqué. Personne ne quitte le Joker. C’est lui qui se débarrasse.
Histoire de faire un véritable coup d’éclat, il a attaqué New York -New York !- avec une armée de malfrats. Il était décidé à prendre la ville, mais c’était sans compter les habitant.es. Les New Yorkais ont une réputation de cyniques habitués à tout, et l’accueil a été à la hauteur ; il a littéralement été arrêté par un couple en train de se disputer comme si c’était un simple lundi. Ok, il était en train d’halluciner, en pleine perte de tous ses moyens, mais il a apprécié l’humour de la situation. Les hallucinations lui ont laissé un effet bizarre, cependant.
Après ça, Arkham Asylum. Encore. Le Joker y a fait de multiples séjours et s’en est échappé autant de fois. Cette fois-ci encore, après deux ans. Deux ans pendant lesquels il n’a pensé qu’à deux personnes : The Batman… et Harley.

De l'autre côté de l'écran ~

Pseudo : Colin
Prénom : Colin
Pour le reste j'ai tout noté dans la fiche de Henry Herbert ! Mais j'avais en effet oublié de mentionner ma passion pour les comics Batman haha ça tombe bien